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Marie-Christine Descouard - "Le Printemps de la Grâce"

Marie-Christine Descouard - "Le Printemps de la Grâce"
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Derniers commentaires
5 avril 2016

Dernières représentations à Paris

Les dernières représentations du spectacle "Le printemps de la grâce" ont été données au Théâtre du Nord-Ouest à Paris 9ème (métro Grands Boulevards).

Anne LELEU, flûtiste à bec, a accompagné le spectacle.

Laurence BOURDAIS en a assuré la mise en scène.

 

Les prochaines représentations seront communiquées sur ce blog.

 

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8 juin 2014

…A propos du spectacle

…A propos du spectacle

 

Romain BOUTEILLE écrit :

«  L'insolence de Marie Christine DESCOUARD rend caduques à peu près toutes les « subversivités » à la mode. Elle consiste à nous parler, comme c'est simple, de l'amitié profonde entre une courtisane de haut vol et un martyr chrétien également de haut vol. Deux êtres vivants faits l'un pour et  par l'autre, dans un équilibre tel qu'on ne sait pas duquel émane la plus troublante majesté.

Je n'avais jamais entendu d'histoire d'amour sublimée à ce point par la noble amitié (ce qui, par les temps qui courent est déjà scandaleux) ni aucune paire de gifles si bien administrée aux idolâtres de la vertu.

La femme qu'interprète Marie Christine a pour nom Marie Madeleine, l'autre se trouve être cet équilibriste anti-monétaire, père des révolutions utopiques, venu faire peur aux banques de la misère intellectuelle et appelé Jésus Christ.  »

 

2Jeanine TEMIN, metteur en scène du spectacle écrit :

« Construit comme un slalom dont la porte d’arrivée est le dénuement, ce parcours est avant tout une mise ne espace des émotions. Proposition d’une étincelle de vérité, essence même du théâtre, qui permet d’accéder à cette possible incarnation ».

 

et Pierre FRANCOIS, dans « La vie catholique » a écrit :

«  ...M. C. DESCOUARD et Jeanine TEMIN évoquent la genèse de la pièce, la modernité du personnage, le travail du comédien, la finalité du théâtre : « le personnage vibre d'amour, un amour qui accepte de passer de la sensation à une profonde amitié. Il découvre aussi un regard masculin et pur posé sur elle. Ce qui est le rêve de toute femme....  »

19 février 2014

Avancer vers…

 

Parcours

 

C'est avec Tania Balachova à Paris et Alessando Fersen à Rome que j'ai commencé à travailler dans l'art théâtral.

 

J’acquis pendant huit ans une grand liberté d’expression au « Café de la Gare », lieu et troupe où fantaisie et imagination étaient à l’honneur.

 

Jean Rochefort me proposa ensuite le rôle féminin de sa première mise en scène, au Théâtre Hébertot à Paris. C’était « l’Etrangleur s’excite », d’Eric NagarEntourée de joyeux mysogines je fûs choyée et coocoonée tout au long de cette belle aventure. Mes partenaires étaient Jean-Pierre MarielleRichard Anconina et Bernard le Coq.

 

J'ai commencé au cinéma avec ce premier rôle confié par Claude Confortès et Wolinski : Le roi des cons, avec Francis Perrin.

 

Georges Lautner et Jean-Paul Belmondo m'ont proposé par la suite des rôles dans Le Professionnel et Joyeuses Pâques.

 

Alain Delon me demanda de jouer sa douce amie dans Le Battant, qu’il réalisa.

 

Puis survint un grand break, qui fit suite au tournage télé du Véto, six épisodes tournés avec Saddi Rebot.

 

2La suite est l’écriture du "Printemps de la Grâce", et      sa réalisation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

Représentation aux Trois-Epis, en Alsace.

 

19 février 2013

ATTENTION, THEATRE

ATTENTION, THEATRE !

 

Qu'est-ce qu'un amour qui vit la transformation ?

Je me posais cette question lorsque j'ai commencé à écrire le texte du spectacle

« le Printemps de la Grâce ».

Le personnage de cette œuvre, fictif puisqu'imaginé est finalement le personnage « historique », dont parlent les textes évangéliques chrétiens et la tradition03 provençale : celui de Marie Madeleine, celle qui est passée, du vivant de l'objet de son amour, Jésus, du statut de « courtisane » à celui de sainte...

Avec l'audace du choix de ce personnage m'est venue l'inspiration...

 

Dans le souffle de ce printemps là, transparaît une sorte d'hymne à l'amour universel.

 

Puis le spectacle est né, et continue sa route depuis plusieurs années, avec un parcours très varié.

Il a été représenté dans des théâtres, des chapelles, des parvis d'église, en plein air pour des festivals, des prisons...

Jeanine TÉMIN l'a mis en mouvements, dans une mise en scène inspirée et adaptable à tous lieux (puisque les mouvements en question partent de l'intérieur du personnage).

Le spectacle a été créé avec le personnage seul en scène. Philipe SAMSON a ensuite créé la musique et l'a accompagné au sitar, indien. Anne LELEU, qui joue sur différentes flûtes à bec, partage l'accompagnement musical en alternance avec lui au sein de ce monologue amoureux et joyeux.

 

Les dernières représentations ont eu lieu à Paris dans le théâtre de Jean-Luc Jeener, rue du Faubourg Montmartre (th. du n.o.), pendant plusieurs semaines, à la suite de la programmation du spectacle dans le cadre du Festival "Courant d'art" à Rouen.

 

 

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